Selon une source interne et une source externe, les audits se sont mal passés et se seraient heurtés à un envoi de documents au compte-goutte de la part d’Atos. Je rappelle qu’en plus des documents demandés par chaque partie pour faire une Due Dilligence express, deux cabinets ont été mandatés pour faire des audits dont une IBR (Industrial Business Review), une estimation de valeur liquidative et un audit financier.
Sans que je sache si le choix des cabinets vienne de la conciliatrice ou de Atos, en plus du travail de Due Dilligence propre à chaque candidat, dans le cadre d’un écrasement de la dette et d’une dilution massive, le Tribunal exige des audits durant la conciliation et une estimation de valeur liquidative. Afin de vérifier que ces deux catégories ne sont pas lésées par le repreneur. J’imagine que le choix des cabinets est fait par le conciateur après consultation des créanciers
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